Manhattn’s

 

 Chacun sa spécialité 

Il y a quelques semaines, je vous parlais de la tendance du burger chic, et des nombreuses adresses burger-friendly qui ont poussé ces dernières années dans la capitale. Il y a pile deux mois, ouvrait une enseigne de cette engeance-là; sur l'Avenue Louise, à deux pas de la place Stéphanie: j'ai nommé le Manhattn's. Le jour même de l'inauguration, fin octobre, tous les chroniqueurs gastronomiques de la planète s'y sont précipités pour écrire le même billet: pas mal, mais trop de monde, une file de dingue et plus d'une heure d'attente avant de pouvoir passer commande.

Sérieusement ? Le jour de l'ouverture d'un truc dont le buzz a retenti jusque dans les faubourgs du BéWé ? Comme c'est étonnant didonc !

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Culinaria Sablon 2014: we did it !

 

 Froid dehors et chaud dedans 

Et hop ! Une nouvelle édition de Culinaria Sablon qui s'est achevée dans le froid, la grisaille et la bruine, mais aussi avec un sentiment de satisfaction et des sourires de contentement. La température ambiante ayant beaucoup refroidi les enthousiastes qui étaient censés m'y accompagner, c'est finalement à deux que nous avons bravé les éléments afin de vous ramener nos impressions. Le plaisir du goût, ça se mérite !

Culinaria Sablon 2014 - L'Air du Temps **Après quelques péripéties horaires, retrouvailles avec l'autre membre du jury improvisé, la courageuse et non moins talentueuse Letizia. Ripaillons ! On passe rapidement sur l'apéro Leffe avec dégustation de fromages suisses, sympathique mais sans grand intérêt: on aurait préféré que soient mis en avant l'un ou l'autre petit brasseur plutôt qu'une des filiales d'AB InBev. Mention quand même à l'Appenzeller et à la bonne humeur des tauliers de l'endroit. Anyway, c'est bien gentil ces mises en bouche, mais on a la dalle. On décide de se fier aux impressions de Carlo, croisé un peu plus tôt, et d'aller du sympa vers l'exceptionnel.

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Le Koï

 

 Comme un poisson dans l'eau 
Paradoxe: on connaît parfois mieux une ville où l'on a passé une semaine en tant que touriste que son quartier où l'on travaille depuis 10 ans. C'est ce que j'ai encore vérifié la semaine dernière: retrouvailles devant mon bureau avec une amie avant une séance de répétition, on était partis pour manger un durum-kefta-sauce-samouraï-tout-salat-frites-à-part, avant de réaliser - ô effroi - que le snack en question était fermé. Qu'à cela ne tienne, il y a un petit japonais plus loin. Diantre, fermé aussi. Mais qu'est-ce qu'on va donc devenir ?
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