LaFourchette.be – Festival de la Gastronomie 2015

LaFourchette.be - 01Un court billet pour vous rappeler ce bon plan qui vous aura peut-être échappé: le site de réservations LaFourchette, récemment absorbé par le géant TripAdvisor, a ouvert il y a quelques mois son alter-ego belge.

Et les choses n'ont pas traîné, puisque à l'instar d'autres grandes villes où est présent LaFourchette, Bruxelles se voit à son tour gratifié de son Festival de la Gastronomie. Ainsi, du 2 au 15 mars, une soixantaine de restaurants de la capitale vous proposeront une réduction conséquente - jusqu'à 50% - sur leur carte et / ou leur menu. Et il y en a vraiment pour tous les goûts et tous les budgets, puisqu'à côté de grandes tables qu'on ne présente plus -  telles La Villa Lorraine, La Truffe Noire ou même Le Chalet de la Forêt - on trouve quelques adresses qui méritent franchement ce coup de projecteur (TAN, Artisauce,...) ou même des petites cantines à moins de 25 EUR le couvert.

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La Sardine du Marseillais

On pourrait écrire des historiographies sur l'art et le symbole du lunch: bulle de détente et de plaisir qui s'immisce invariablement dans l'aliénante litanie des obligations professionnelles, tels les irréductibles filaments argentés qui parviennent jusqu'à nous même au plus gris de la morte saison.

Oué fieu ! Et pourtant, pour la plupart d'entre nous, le repas du midi c'est souvent: un mauvais sandwich / payé cher et vilain / avalé en deux temps / oublié en trois mouvements. Bref, l'antithèse de la gastronomie, et tout ce qu'on déteste.

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Beijingya

 

 Bien manger, c'est pas chinois... 

A Bruxelles, des restos chinois, on en trouve à la pelle. Des restos chinois où l'on mange bien, c'est déja moins simple. Et les bons restos chinois qui proposent une cuisine authentique, c'est carrément pas gagné. Pourtant, en cherchant bien on en trouve: le Beijingya, dans le quartier Sainte-Catherine, fait partie de ceux-là. C'est d'ailleurs un peu l'archétype de l'adresse "qui paie pas de mine", que l'on garde un peu jalousement et que l'on partage avec ses amis le jour où on a envie de leur faire plaisir.

Et voilà ficelé le scénario de ma dernière visite: une après midi thermale avec des amis, une proposition de gueuleton pour clôturer la journée et l'envie de cuisine chinoise de l'un des protagonistes, il n'en fallait pas plus - mais pas moins non plus - pour nous retrouver au lieu-dit. On a beau être en pleine semaine, une veille de réveillon, je propose de réserver. Bien m'en a pris. A notre arrivée, deux ou trois groupes essaient de s'inviter: désolé messieurs dames, il faudra au moins 45 minutes d'attente. C'est que l'endroit compte nombre de fidèles - dont un paquet de clients d'origine asiatique, souvent un bon signe - et c'est sans surprise, tant l'essayer c'est l'adopter.

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