Les labels: le bio

Vous le savez: chez Foodtales, entre deux récits de grandes tables et trois photos de petits plats pas dégueu, on aime aussi aborder des sujets de fond. Parce que finalement, si la gastronomie c'est tout sauf ennuyeux, la bouffe, c'est aussi une affaire très sérieuse. Speaking of which, dans notre série d'articles consacrés aux labels, en voici un que vous attendiez: attention, ce billet est vert, ce billet sent bon la nature sauvage, le fleurs des champs et les petits oiseaux qui gazouillent... Relaxez-vous et respirez à plein poumons, car nous allons parler Bio.

Aaaaaaah, LE BIO ! Formidable système annonciateur d'un monde magique, d'agriculture et d'élevages respectueux de la nature, précurseur d'une révolution qui allait enfin permettre à l'humanité de s'affranchir des affres des pesticides et autres produits chimiques, et de fonctionner en toute harmonie avec son milieu.

Mouais.

Près d'un siècle après l'invention du concept, on peut dire sans trop se gourer que l'idée est loin d'avoir tenu toutes ses promesses.

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Les labels: la qualité

Deuxième épisode de cette série consacrée aux labels alimentaires; aujourd'hui: la qualité. Prenez vos cahiers et de quoi écrire parce que ce sera matière pour l'examen. Pour commencer, juste en dessous de la date et du titre, vous pouvez écrire en lettres CAPITALES, en gras souligné: "La qualité, c'est d'la merde".

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Le nom du goût (ou Appelons un chou un chou !)

Nous l'avons vu tout récemment quand il s'agissait de soja: les noms que l'on donne aux aliments peuvent parfois prêter à confusion et ne pas refléter leur véritable nature. Tout ceci permet d'introduire un problème que l'on rencontre en biologie mais qui, par extension, s'applique aussi à la gastronomie (dans la mesure où on mange exclusivement de l'animal ou du végétal, le régime alimentaire à base de cailloux n'étant pas encore à l'ordre du jour malgré la crise): cette problématique, c'est celle des noms vernaculaires.

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