Chouconut, écrin de gourmandise à Bruxelles

NdlR: Aujourd'hui, Foodtales accueille une nouvelle invitée, en la personne de Letizia Camboni, talentueuse artiste aux multiples facettes, qui excelle tout particulièrement dans le domaine de la photo. En dehors de ses pinceaux et de ses objectifs, Letizia nourrit également une véritable passion pour le goût - en particulier pour les saveurs sucrées - et pour ce premier article, elle a choisi de partager son nouveau coup de coeur en la matière. Envie de suivre son exemple ? Un mail sur info@foodtales.be, et c'est emballé !

Chouconut, c’est une nouvelle adresse précieuse et élégante de la capitale. Située dans le quartier du très animé Parvis de Saint-Gilles, elle se met avec délicatesse au service de vos papilles en mal de découverte.

Vous pensiez connaître les choux à la crème sur le bout des doigts ? Poussez donc la porte de cet adorable salon de thé et pâtisserie. Un design intelligent, des canapés confortables et le plaisir de laisser papillonner son regard dès le comptoir. Les choux, donuts et autres plaisirs faits maison s’étalent sous vos yeux telles les nuances d’une palette de peintre. Et la palette de goûts n’est bien sûr n’est pas en reste : les saveurs de ces choux colorés sont équilibrées, généreuses en acidité et explosent en bouche comme des surprises sucrées. Laissez-vous séduire par des associations inédites et détonantes comme « Mangue-Passion » et « Cassis-Poire » ou optez pour la douceur avec leur d’ores et déjà emblématique donut garnis parfum crème brûlée !

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La Sardine du Marseillais

On pourrait écrire des historiographies sur l'art et le symbole du lunch: bulle de détente et de plaisir qui s'immisce invariablement dans l'aliénante litanie des obligations professionnelles, tels les irréductibles filaments argentés qui parviennent jusqu'à nous même au plus gris de la morte saison.

Oué fieu ! Et pourtant, pour la plupart d'entre nous, le repas du midi c'est souvent: un mauvais sandwich / payé cher et vilain / avalé en deux temps / oublié en trois mouvements. Bref, l'antithèse de la gastronomie, et tout ce qu'on déteste.

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Beijingya

 

 Bien manger, c'est pas chinois... 

A Bruxelles, des restos chinois, on en trouve à la pelle. Des restos chinois où l'on mange bien, c'est déja moins simple. Et les bons restos chinois qui proposent une cuisine authentique, c'est carrément pas gagné. Pourtant, en cherchant bien on en trouve: le Beijingya, dans le quartier Sainte-Catherine, fait partie de ceux-là. C'est d'ailleurs un peu l'archétype de l'adresse "qui paie pas de mine", que l'on garde un peu jalousement et que l'on partage avec ses amis le jour où on a envie de leur faire plaisir.

Et voilà ficelé le scénario de ma dernière visite: une après midi thermale avec des amis, une proposition de gueuleton pour clôturer la journée et l'envie de cuisine chinoise de l'un des protagonistes, il n'en fallait pas plus - mais pas moins non plus - pour nous retrouver au lieu-dit. On a beau être en pleine semaine, une veille de réveillon, je propose de réserver. Bien m'en a pris. A notre arrivée, deux ou trois groupes essaient de s'inviter: désolé messieurs dames, il faudra au moins 45 minutes d'attente. C'est que l'endroit compte nombre de fidèles - dont un paquet de clients d'origine asiatique, souvent un bon signe - et c'est sans surprise, tant l'essayer c'est l'adopter.

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