Bia Mara

 

 Fishtrement bien ! 

Bia Mara 04Pas plus tard qu'hier, j'étions avec mon comparse fine bouche ADN dans le quartier de la Bourse; sortant d'une avant-première assez jouissive, l'idée était de casser la dalle vite fait avant de rejoindre nos pénates. Plutôt efficace dans d'autres domaines, ma mémoire me fait souvent défaut lorsqu'il s'agit d'aller découvrir une nouvelle adresse croisée quelque temps auparavant: heureusement, mon acolyte a le chic pour repérer les bons plans et surtout, pour s'en souvenir: "un fish'n chips au Bia Mara, ça te dit ?".

Of course dude ! C'est à côté et ça fait juste 5 fois en trois mois que je passe devant en oubliant d'y retourner: appelez-moi le Doris des foodies !

L'histoire du Bia Mara - "fruits de la mer" en gaélique - vaut le détour et sonne un peu comme un conte de fées qui, coup de bol, se déroule en ce moment à Bruxelles.

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Manhattn’s

 

 Chacun sa spécialité 

Il y a quelques semaines, je vous parlais de la tendance du burger chic, et des nombreuses adresses burger-friendly qui ont poussé ces dernières années dans la capitale. Il y a pile deux mois, ouvrait une enseigne de cette engeance-là; sur l'Avenue Louise, à deux pas de la place Stéphanie: j'ai nommé le Manhattn's. Le jour même de l'inauguration, fin octobre, tous les chroniqueurs gastronomiques de la planète s'y sont précipités pour écrire le même billet: pas mal, mais trop de monde, une file de dingue et plus d'une heure d'attente avant de pouvoir passer commande.

Sérieusement ? Le jour de l'ouverture d'un truc dont le buzz a retenti jusque dans les faubourgs du BéWé ? Comme c'est étonnant didonc !

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Le Koï

 

 Comme un poisson dans l'eau 
Paradoxe: on connaît parfois mieux une ville où l'on a passé une semaine en tant que touriste que son quartier où l'on travaille depuis 10 ans. C'est ce que j'ai encore vérifié la semaine dernière: retrouvailles devant mon bureau avec une amie avant une séance de répétition, on était partis pour manger un durum-kefta-sauce-samouraï-tout-salat-frites-à-part, avant de réaliser - ô effroi - que le snack en question était fermé. Qu'à cela ne tienne, il y a un petit japonais plus loin. Diantre, fermé aussi. Mais qu'est-ce qu'on va donc devenir ?
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