Les cocktails de l’Archiduc (sont-ils secs ?)

l'Archiduc - Dita Von Teese (Crédit photo: Archiduc.net)
Une fin de de soirée, en semaine, à Bruxelles. Une répétition qui se termine, quelques potes dans les parages, et arrive la question rituelle: où aller boire un verre ?

Dans l'absolu, ce sont pas les options qui manquent. Initialement, on comptait sur l'un des petits estaminets proches de la Grand-Place pour satisfaire nos envies de libations. Mais passé 23.30, ceux-ci rechignent souvent à risquer les prolongations en accueillant des fêtards: chaises sur les tables et gueules d'enterrement ne sont alors pas loin.

C'est compris, les oiseaux de nuit iront se poser un peu plus loin, là où ils sont toujours les bienvenus: à l'Archiduc. Pour ceux qui ne connaissent pas ce haut lieu de la nuit bruxelloise, c'est un bar dans le plus pur style art-déco qui a déja vécu plusieurs vies.

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Switch

 

 On ne change pas une équipe qui fait match nul 

Le Switch - La carteSwitch, dans mon parcours gastronomique, c'était un peu l'acte manqué récurrent. Découvert en 2008 dans l'excellente rubrique resto du défunt magazine Zone 02, le concept initial m'avait immédiatement séduit. L'idée, abandonnée depuis, était alors de proposer 4 produits, 4 accompagnements et 4 sauces, et de laisser au gourmet le soin de choisir la combinaison qui le tentait le plus. Plus d'une fois, je me suis retrouvé à chercher un restaurant à tester, à piétiner, à me rabattre sur une valeur sûre, pour ensuite me dire, à peine commandé "mais pourquoi n'ai-je pas été tester le Switch ?". C'est donc plein de curiosité et avec un certain enthousiasme que j'ai réussi à m'en souvenir lorsqu'un couple d'amis nous a proposé d'aller dîner. Et encore, ce souvenir soudain était moins du à un regain de vivacité intellectuelle qu'à la présence du dit Switch dans les pages d'un RestoPass fraîchement acquis. Parfait, ce sera l'occasion d'enfin étrenner celui-ci. (N.B.: le Switch ne fait entretemps plus partie de la sélection). Un rapide tour sur le site web nous renseigne sur d'alléchants menus 3 ou 4 services, proposés respectivement à 35 EUR et 42 EUR. Ok, rendez-vous pris !

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Le nom du goût (ou Appelons un chou un chou !)

Nous l'avons vu tout récemment quand il s'agissait de soja: les noms que l'on donne aux aliments peuvent parfois prêter à confusion et ne pas refléter leur véritable nature. Tout ceci permet d'introduire un problème que l'on rencontre en biologie mais qui, par extension, s'applique aussi à la gastronomie (dans la mesure où on mange exclusivement de l'animal ou du végétal, le régime alimentaire à base de cailloux n'étant pas encore à l'ordre du jour malgré la crise): cette problématique, c'est celle des noms vernaculaires.

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