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- Publié le 28 décembre 2020
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Il est cependant talonné par une conseillère municipale marcheuse de la ville, Christine Urbes. Toutefois, le Parti communiste français, bien implanté au sud du Havre, avec le maire de Gonfreville-l'Orcher et ancien député, Jean-Paul Lecoq, à Dieppe, avec le maire de la ville, Sébastien Jumel et au sud de Rouen avec le maire de Saint-Étienne-du-Rouvray, Hubert Wulfranc, prend sa revanche sur 2012 et parvient à faire élire ces trois élus locaux, en partie grâce au soutien de la France insoumise pour ces deux derniers candidats et des Verts pour Hubert Wulfranc. Finalement, deux des trois secteurs où Jean-Luc Mélenchon est arrivé en tête portent leur sortant socialiste au second tour. Alors que le reste de la petite couronne parisienne se met globalement en marche, la Seine-Saint-Denis se montre bien plus « insoumise » à cette tendance. La coalition LREM-MoDem s'offre ainsi un grand chelem dans le département dont Jean-Pierre Raffarin est encore sénateur. La droite réussit à surclasser les marcheurs et à profiter de la chute de la gauche pour récupérer le siège de Neufchâteau-Vittel qu'elle avait dû concéder en 2012. Les résultats sont présentés par département ou collectivité et pour chaque circonscription. Accompagnant le succès d'en marche, le FN accroît considérablement sa popularité locale. Ce département qui avait tous ses députés de droite depuis 2002, est finalement séduit par les marcheurs. Françoise Descamps-Crosnier est également empêchée, dès le premier tour, de conserver son siège, en partie en raison des divisions à gauche et finalement Michel Vialay, maire LR de Mantes-la-Jolie, est ironiquement le seul rescapé départemental de la vague en Marche dans un des deux seuls anciens sièges de gauche. Le sortant socialiste de Rennes-Pacé, François André est lui réélu assez largement avec le soutien implicite du parti d'Emmanuel Macron qu'il avait parrainé lors de la présidentielle. En revanche, le reste du département plébiscite l'alliance du centre LREM-MoDem à plus de 60 % des voix, partout sauf à Saumur-Doué où la marcheuse Laëtitia Saint-Paul parvient tout de même à s'imposer avec plus de 16 points d'avance, devenant par ailleurs la première militaire jamais élue à l'Assemblée. Ce sont sinon deux MoDem qui accèdent à l'Assemblée : Michel Fanget, député UDF de Clermont-Ferrand de 1993 à 1997 obtient le siège d'Issoire face au maire LR de la ville, Bertrand Barraud, dont c'est la deuxième candidature, qualifié avec seulement 123 voix d'avance sur la candidate insoumise. Découvrez les résultats du 1er et 2nd tour de la présidentielle 2017 pour France en temps réel et gratuitement sur Le Monde.fr. Face à En Marche et au MoDem, Les Républicains qui ont dominé la délégation parlementaire valdoisienne de 2002 à 2012 parviennent au second tour dans sept secteurs sur dix. Deux novices en politique complètent le tableau des marcheurs, Émilie Guerel, jeune militante élue à Six-Fours-les-Plages, et Valérie Gomez-Bassac dont l'opposant frontiste, Jérôme Rivière, est un ancien député UMP. n'obtient aucun élu malgré sa présence au second tour dans chaque circonscription, confirmant le résultat du premier tour de la présidentielle où Emmanuel Macron n'était arrivé que troisième dans le département. Le soutien de Ségolène Royal pour cette dernière ne lui suffira cependant pas et Delphine Batho obtient un score confortable pour un troisième mandat à l’Assemblée. Le porte-parole du gouvernement et ancien socialiste, Christophe Castaner est réélu dans la circonscription de Manosque face au candidat de la France insoumise et Delphine Bagarry est élue à Digne face au FN, devenant la première femme jamais élue députée dans le département. Le Monde publie les résultats détaillés des votes de chacune des communes françaises pour le premier et le deuxième tour des élections législatives, les 11 et 18 juin 2017. Ces deux candidats arrivent en tête du premier tour dans cet ordre. pouvait espérer des élus : c'est chose faite avec la conquête du nord du département grâce à deux transfuges des radicaux de gauche, l'ancien sénateur Stéphane Mazars et la maire de la petite commune de Naucelle, Anne Blanc, qui se paie même le luxe d'être la seule députée de cette élection à être élue sans opposant au second tour, à la suite du retrait du républicain André At. Cette dernière l’emporte largement face à Béatrice Bellamy, conseillère municipale de La Roche-sur-Yon, qui a également devancé au premier tour la sortante socialiste, la conseillère départementale Sylviane Bulteau. Tous deux font face à la gauche radicale qui tire profit de la chute des socialistes et de l'impopularité de la droite. Celle-ci est élue face à un ancien camarade de parti, Wilfrid Montassier, maire de La Rabatelière, qui perd un secteur pourtant très ancré à droite, comme l’avaient démontré les élections dès le premier tour de Philippe de Villiers puis de Véronique Besse, de 1988 à 2012 (sauf en 1997). L’ancien député LR de Rosny-Gagny, Patrice Calméjane prend sa revanche sur sa tombeuse socialiste de 2012, Élisabeth Pochon, l’éliminant au premier tour, mais le maire de Villemomble ne retrouve pas son siège et est confortablement battu par la candidate marcheuse, Sylvie Charrière, principale de collège. Sinon les marcheurs ne parviennent à l'emporter qu'à Longwy face aux insoumis qui obtiennent un score honorable. Toutefois, la maire du 17ème arrondissement, Brigitte Kuster parvient surprenamment à l’emporter pour succéder à l’ancien ministre Bernard Debré et Pierre-Yves Bournazel l’emporte dans le nord de Paris, avec le soutien du premier ministre, face à l’ancienne ministre PS du Travail, Myriam El Khomri. Exception faite d'Orléans-sud qui plébiscite la candidate marcheuse, Stéphanie Rist face au président LR d'Orléans Métropole, Charles-Éric Lemaignen, après 24 ans de domination des cousins Carré (Antoine et Olivier) dont le maire d'Orléans, Olivier Carré. Cela s'est plutôt vérifié pour les Républicains qui se maintiennent dans les secteurs de Troyes-Bar-sur-Seine, qui élit la première femme députée de l'histoire du département, et Troyes-Romilly-sur-Seine, secteur historique de François Baroin, malgré une nette avance des candidats soutenus par En Marche ! Les Républicains, le FN et LREM-MoDem forment ainsi systématiquement le trio de tête sauf à Noyon-Compiègne où le sortant communiste arrive en troisième position. Le renouvellement politique observé à l'échelle nationale se traduit par une importante pluralité de la délégation parlementaire en Meurthe-et-Moselle. Mais la défaite la plus nette reste celle de la gauche qui ne parvient à se qualifier nulle part et n'est en troisième position que dans deux secteurs dont Metz-Woippy où la sortante Aurélie Filippetti chute, 10 ans après son entrée au Palais Bourbon. Cependant, de tels scores au premier tour ne garantissent pas le succès au second. Pour succéder au premier ministre, Bernard Cazeneuve à Cherbourg, cela s'est joué entre le candidat officiel d'en marche et une dissidente, Sonia Krimi qui l'a finalement emporté pour devenir la première femme élue députée de l'histoire du département. L’ancien ministre et candidat à la présidentielle d’avril, Benoît Hamon, perd son siège de peu dès le premier tour face à Nadia Hai, la candidate marcheuse qui l’emportera face à son prédécesseur, Jean-Michel Fourgous. Le secteur de Gennevilliers-Colombes, communiste de 1967 à 2012 puis socialiste, voit s’affronter au second tour la jeune avocate marcheuse Isia Khalfi et la conseillère départementale communiste Elsa Faucillon. Forte de sa popularité nationale, La République en marche ! On peut s’étonner du faible score de la candidate insoumise (13 % des voix) quand Jean-Luc Mélenchon obtenait 28,35 % des voix, dans la cité des papes, en avril, 7 points devant Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Finalement, c'est le maire MoDem du village de Marchenoir, Marc Fesneau, qui sauve l'honneur de la coalition centriste, à l'échelle départementale, en étant largement élu pour le siège de Blois face au candidat FN, Michel Chassier. Il se qualifie avec près de 10 points d'avance sur Virginie Gobalou au premier tour et conserve à peu de choses près cette avance au second tour pour l'emporter et mettre fin au règne de la gauche qui durait depuis 20 ans. La 1re adjointe au maire de Cormeilles-en-Parisis, Nicole Lanaspre, se qualifie à Herblay-Taverny face à Cécile Rilhac, militante, comme le sortant, du Mouvement des progressistes de Robert Hue mais cette dernière l’emporte très confortablement. Après s’être qualifiés pour le second tour dans toutes les circonscriptions, les marcheurs ne transforment finalement l’essai que pour 3 sièges sur 5. En revanche, ce n'est pas le cas de leur autre candidate, l'ancienne sénatrice socialiste, Patricia Bordas, qui chute sur le fil face à la candidate des Républicains, vice-présidente du département, Frédérique Meunier, qui permet à la droite de revenir à la tête du secteur de Brive après 10 ans d'absence. Contribuez et ajoutez un nouveau jeu de données au catalogue de ce site. Tandis qu'au sud le sortant UDI, Bertrand Pancher améliore son score de 2012 face à la même candidate alors socialiste, l'ancienne conseillère générale, Diana André. C’est un autre candidat issu de la société civile, le marcheur Jacques Savatier, ancien conseiller municipal à Montamisé, qui l’emporte largement face à Céline Cuvillier, pour succéder au maire PS de Poitiers, Alain Claeys. Tandis que le reste du pays choisit globalement le changement, la Martinique ne se choisit pas vraiment des députés novices en politique. Journal d’information en ligne, Le Monde.fr offre à ses visiteurs un panorama complet de l’actualité. Ici, ce n’est « que » 33 % avec certains secteurs où ils obtiennent moins de 30 % des voix. Celle-ci se hisse au second tour dans un contexte de fortes divisions à gauche et l’emporte face à la candidate marcheuse, Sheerazed Boulkroun, docteur en biologie. Gwendal Rouillard est également réélu sous la bannière des marcheurs à Lorient, dans l'ancien secteur du ministre d'Emmanuel Macron, Jean-Yves Le Drian, face à un candidat insoumis qui matérialise la deuxième place obtenue dans la sous-préfecture par Jean-Luc Mélenchon en avril précédent (21 % des voix). Laurence Vichnievsky complète le tableau des conquêtes des marcheurs, cette ancienne écologiste l'emporte à Clermont-Chamalières face à Louis Giscard d'Estaing qui ne parvient pas à récupérer le siège de son père, Valéry Giscard d'Estaing, qu'il a perdu cinq ans plus tôt face à Danielle Auroi qui ne se représente pas. Cependant, le maire LR de Mâcon, Jean-Patrick Courtois, se montre impuissant face à son opposant marcheur tout comme celui de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, face à l’avocat Raphaël Gauvain et le chef de la droite creusotine, Charles Landre face au maire marcheur d’Autun, Rémy Rebeyrotte, qui tient sa revanche sur Philippe Baumel, éliminé de peu dès le premier tour, face auquel il s’était déjà présenté sans succès en 2012. La première circonscription, pour la première fois depuis 1958, n'élit pas un député socialiste à sa tête (il en est presque de même pour celle de Pamiers à quelques lointaines exceptions près). José Évrard, ancien communiste, s'impose à Lens tandis qu'Auchel élit le nouveau benjamin de l'Assemblée, Ludovic Pajot, le conseiller régional, Bruno Bilde l'emporte à Liévin et enfin Marine Le Pen prend sa revanche sur Philippe Kemel, éliminé au premier tour, et l'emporte largement face à la candidate marcheuse. Le parti conserve six sièges sur les neuf qu’il possédait face à En Marche ! Finalement, ce dernier, le conseiller territorial Paul-André Colombani, est élu, mettant fin à presque 60 ans de domination locale de la famille De Rocca Serra. Seule la circonscription de Chartres choisit le mouvement présidentiel pour la représenter, alors que le sortant, le député-maire de Chartres, ne se représentait pas. Alexis Corbière, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne présidentielle de 2017, l’emporte largement à Montreuil et la féministe Clémentine Autain est également victorieuse à Sevran-Villepinte. Dans les quatre autres secteurs du nord-est, le premier tour apporte aux marcheurs de bons résultats. Face à Vincent Jeanbrun, maire LR de L’Haÿ-les-Roses, il obtient un second mandat avec un score moins large qu’en 2012, cependant. Elle s’incline ainsi face à un colistier d’Émilie Bonnivard aux élections régionales de 2015, Patrick Mignola, maire MoDem de La Ravoire. Du côté de la gauche, la popularité de Jean-Luc Mélenchon lors de la présidentielle (21 % des voix) et celle passée mais assez ancrée du PS ont contribué à un morcellement des voix de gauche entre les candidats de ce dernier et ceux de la FI. Jacques Myard, député issu de la droite des Républicains, échoue également à obtenir un sixième mandat et c’est une ancienne militante socialiste, Yaël Braun-Pivet qui le bat au second tour. En effet, seuls deux sièges tombent entre les mains des soutiens du président, celui du Mans-nord-ouest, emporté sur le fil par le jeune candidat issu de la droite, Damien Pichereau, face à Christelle Morançais, vice-présidente LR de la région, et celui de La Flèche, que la musicienne Pascale Fontenel-Personne, remporte face à Béatrice Pavy-Morançais députée du secteur jusqu’en 2012 et première vice-présidente LR du département auprès de Dominique Le Mèner. C'est le skipper Jimmy Pahun, soutien du président, qui l'emporte finalement. La plus forte résistance aura été offerte par l’insoumise Martine Gourdon, ancienne communiste, dans ce qui a longtemps été le fief de l'ancien premier ministre, Jean-Marc Ayrault. L’ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem est la seule représentante du PS au second tour de tout le département et est largement battue à Villeurbanne par l’entrepreneur marcheur Bruno Bonnell. Alliés localement au GUSR, les marcheurs parviennent par cette alliance au second tour dans toutes les circonscriptions avec toutefois des situations et des résultats largement hétérogènes. Découvrez chaque jour toute l’info en direct (de la politique à l’économie en passant par le sport et la météo) sur Le Monde.fr, le site de news leader La Guadeloupe est largement affectée par la tendance nationale qu’est d’accorder aux candidats marcheurs un résultat non négligeable. En effet, les séquano-dionysiens apportent aux insoumis et aux communistes soutenus par ces derniers une majorité de leurs sièges. En effet, le Var a été le département ayant le moins voté pour Emmanuel Macron, 17,73 % des voix, au premier tour (ce dernier l'a emporté avec moins de 51 % des voix au second) et Toulon est la seule ville de plus de 100 000 habitants, avec Perpignan, à avoir placé en tête Marine Le Pen le 23 avril. Jean-Philippe Nilor est aisément réélu avec plus de deux tiers des voix, dans un contexte de très forte abstention (71,66 % au second tour). Enfin, Lille qui avait voté à 30 % pour Jean-Luc Mélenchon en avril élit deux jeunes insoumis, Ugo Bernalicis qui l'emporte largement à Lille-Villeneuve-d'Ascq après une candidature Front de Gauche en 2012 et Adrien Quatennens qui l'emporte sur le fil face au candidat marcheur à Lille-Sud. Et malgré les bons résultats du premier tour, En Marche ne fera même pas basculer les secteurs de Champigny-Le Perreux et de Maisons-Alfort, où les sortants sont réélus. Le résultat général des marcheurs vosgiens était annoncé par le score d’à peine 20 % d'Emmanuel Macron en avril dans le département. Sinon, la seule sortante socialiste à se représenter, Colette Langlade, chute de peu à Nontron face au maire MoDem du village de Lanouaille, Jean-Pierre Cubertafon. En effet, les circonscriptions rurales réélisent leurs députés sortants tous encartés chez LR, tandis que les circonscriptions organisées autour des villes de Strasbourg et de Haguenau ont élu des députés issus des rangs de la République en Marche. Le grand perdant dans le département est donc le mouvement présidentiel : la République en marche ! Pour le premier, c'est le porte-parole des Républicains, Guillaume Peltier, qui l'emporte, à la suite de Patrice Martin-Lalande qui était élu à ce siège depuis 24 ans. Enfin, le FN se qualifie pour le second tour de quatre sièges mais se fait systématiquement battre largement sauf à Saint-Égrève-Pontcharra où le parti d'extrême droite atteint presque les 45 % au second tour (Marine Le Pen y avait dépassé les 31 % en avril) mais est tout de même vaincu par les marcheurs plébiscités. Le socialiste David Habib obtient un quatrième mandat à Orthez et enfin, à Oloron-Sainte-Marie, le seul "résistant" départemental à la vague rose de 2012, Jean Lassalle, candidat à la présidentielle, parvient à créer la surprise, après avoir été mené de 8 points au premier tour par le candidat marcheur, et à l'emporter pour la quatrième fois. Ce duel inédit n'empêcha pas Antoine Herth d'être réélu. On note l’élection de la ministre et conseillère MoDem de Paris, Marielle de Sarnez, dans le sud de Paris et celle du secrétaire d’état au Numérique, Mounir Mahjoubi, qui s’est tout de même fait peur face à la candidate insoumise, tout comme Pierre Person, président des Jeunes avec Macron face à la conseillère insoumise de Paris, Danielle Simonnet, dans le secteur de l'ancienne ministre Cécile Duflot, éliminée au premier tour. Cependant, malgré le soutien des maires des huit villes de la circonscriptions et que ce soit « la circonscription la plus à droite et au centre du département », selon Axel Poniatowski[16], la conseillère régionale MoDem, Nathalie Elimas s’impose largement au premier comme au deuxième tour. Mais là encore, le triplement du score de l’insoumise ne suffit pas pour l’emporter et Pierre-Alain Raphan est élu avec toutefois le plus faible score pour un marcheur dans le département. Il affronte notamment le maire de Valdoie, Michel Zumkeller, député depuis 2002. La banquière Sophie Beaudoin-Hubière mène à Limoges-Ambazac tout comme le jeune pilote de ligne Jean-Baptiste Djebbari à Limoges-Saint-Junien. La République en marche ! Deux sortantes de ce parti sont réélues marcheuses avec de très larges scores face au FN. REM emporte directement quatre sièges du sud tandis que son allié MoDem fait élire sa candidate très largement à Rennes-Cesson-Sévigné face au candidat de la droite qui avait réussi à devancer une gauche très divisée au premier tour. Le conseiller municipal de Lavaur, Jean Terlier, ex-PS et nouvellement marcheur, est suivi par Bernard Carayon, maire LR de cette même ville, qui avait perdu son siège en 2012 face à Linda Gourjade, largement battue au premier tour. La circonscription de Dax fait également le choix d'un maire, celui de Saint-Martin-de-Seignanx, l'ancien socialiste Lionel Causse, confortablement élu face à une candidate insoumise. Alors qu'après 54 ans de gouvernance sans partage de la droite et du centre droit, le socialiste Alain Calmette avait réussi à emporter le siège d'Aurillac en 2012, la République en marche ! Au-delà de ce succès surtout révélateur de la situation à l'échelle nationale, les qualifiés du second tour face aux marcheurs présents partout sont plus révélateurs de la situation politique locale. Les insoumis qui parviennent à se qualifier dans 5 autres circonscriptions et même à faire élire, dans la 17ème circonscription, Danièle Obono, qui a notamment devancé au premier tour, le sortant, un adjoint au maire PCF de Paris et Babette de Rozières. Le candidat Divers droite - LREM, Aramis Arbau, n’aura pas concrétisé sa victoire trois ans plus tôt pour la mairie de Vieux-Habitants au cours de laquelle il avait battu le sortant, Victorin Lurel, qui avait dû quitter le ministère des Outre-mer. À l'image de la situation à l'échelle nationale, les sortants socialistes échouent largement en étant battus dès le premier tour ː après 20 ans au Palais-Bourbon, la défaite de Jean-Paul Chanteguet est emblématique. Comme c'est le cas depuis 2002, Marc Le Fur sera à nouveau le seul député de droite des Côtes-d'Armor mais non plus face aux socialistes mais aux marcheurs. Dans les deux autres secteurs, à l’issue du premier tour, l’issue semblait moins certaine, alors que dans les deux cas déjà cités, un candidat s’est imposé dès le premier tour. Seul le secteur d'Auxerre décide de ne pas changer ses habitudes électorales. Ainsi, tout ceci a conduit à l'élimination de tous ces candidats sauf André Viola, président du département, qui est finalement battu dans le secteur de Castelnaudary , où on remarque un taux exceptionnellement haut de votes blancs et nuls : il dépasse 18 % des votants. Dans une circonscription où Marine Le Pen avait atteint 48,5 % des voix en mai précédent, le FN déçoit ses possibles espoirs et se retrouve battu. Tous les autres secteurs n’apportent pas de surprise au cours des duels LREM-union de la droite avec, partout, de larges victoires pour les marcheurs, y compris dans des secteurs emblématiques tels, Courbevoie, Issy-les-Moulineaux ou Levallois-Perret. 11 et 18 juin 2017 Résultats définitifs * Résultats France Entière ou cliquez sur la carte pour accéder au détail des résultats * Sous réserve d'éventuelles corrections et … Philippe Briand, le président LR de la métropole tourangelle, est le seul sortant à avoir renoncé à se représenter après 24 ans à l'Assemblée et le candidat qui représente son parti pour lui succéder est le plus largement battu du département. À Sucy-Villiers, Maud Petit, adjointe MoDem au maire de Villiers, le sortant Jacques-Alain Bénisti, obtient 40 % des voix tandis que dans le secteur voisin de Créteil-Saint-Maur, l’ancien militant de centre gauche, désormais à en Marche, Frédéric Descrozaille, obtient un score similaire. La République en marche ! Enfin, dans la neuvième circonscription centrée autour de Haguenau, le candidat de LREM Vincent Thiébaut l'emporte de peu sur le candidat de droite, Étienne Wolf. La droite sauve sinon les meubles en conservant la majorité des sièges même si deux sièges n'avaient pas de candidat marcheur pour s'opposer aux candidates LR mais plutôt des candidats se présentant avec l'étiquette de la majorité présidentielle. C’est la jeune vice-présidente LR de la région, Émilie Bonnivard, qui permet cette conquête face au novice en politique, initialement soutenu par le PS, le marcheur Philip Vivier. Symbole de cette large victoire, l’adjoint au maire ex-UDI du 9ème arrondissement, Sylvain Maillard qui l’emporte dès le premier tour dans la 1re circonscription, notamment face au maire LR du 1er arrondissement, Jean-François Legaret. Enfin, Stéphane Le Foll, ministre sortant de l’Agriculture, qui, sans de sympathie annoncée pour le mouvement, n’avait pas de candidat en Marche face à lui, conserve l’ancien siège de François Fillon, face au candidat LR, Emmanuel Franco, président de la communauté de communes du Val de Sarthe, au cours de l'un des seuls sept duels PS-LR de ces élections législatives de 2017. L’ancien ministre des sports David Douillet et le maire de Chambourcy, Pierre Morange, figurent également parmi les victimes des marcheurs. Enfin, deux nouveaux élus représentent la droite, à Compiègne-Sud, Pierre Vatin, ancien assistant parlementaire de Lucien Degauchy et à Clermont-Creil, le jeune maire d'Étouy, Maxime Minot. Extraction des données du ministère de l'intérieur concernant les résultats définitifs par commune et par circonscription électorale pour le département de la Gironde. Avec le soutien de cette dernière entre autres au second tour, Gabriel Serville obtient un deuxième mandat et Joëlle Prévot-Madère essuie sa deuxième défaite consécutive, malgré un score en hausse par rapport à 2012. Ces résultats sont aussi l'écho de la deuxième place de Jean-Luc Mélenchon obtenue dans le département en avril. Toutefois, la droite se montre incapable de s’opposer efficacement aux marcheurs dans le reste du département. Finalement, ce sont les secteurs plus périphériques à la ville d'Alain Juppé qui résistent au mouvement présidentiel et lui préfèrent la gauche qui l'emporte sur le fil : la FI dans le secteur historique de l'écologiste Noël Mamère, Bordeaux-Bègles, et le PS qui, après 10 ans de domination départementale, se raccroche au seul siège de Cenon-Lormont, acquis depuis 1958. 20 ans après l'élection de Michèle Rivasi, première femme députée du département, la Drôme envoie à l'Assemblée une délégation parlementaire composée uniquement de 4 femmes. Bien que plébiscités à l'échelle nationale, les marcheurs sont mis en difficulté par la droite loir-et-chérienne dès le premier tour, dans les secteurs de Romorantin-Lanthenay et de Vendôme. Son secteur montre une très nette préférence pour une avocate, proche de Jean Arthuis, l’ancienne militante UDI et désormais marcheuse, Martine Leguille-Balloy. Le conseiller régional d'extrême droite aura réussi à se hisser au second tour en grande partie grâce aux divisions à droite, entre le candidat LR et Rama Yade, et à gauche, entre le sortant socialiste et la candidate insoumise. Le secteur d'Ivry-Vitry, ancré communiste mais que le MRC Jean-Luc Laurent avait fait basculer en 2012, revient, lui, à la gauche radicale avec une camarade de parti de Djamel Arrouche, la jeune militante associative Mathilde Panot. Celui-ci réédite au second tour à peu de choses près le score de Marine Le Pen dans la circonscription en mai (45,69 % des voix) qui ne leur permet cependant pas de l’emporter et Sylvia Pinel obtient un troisième mandat. Le secteur de l’est de Grande-Terre porte en tête la candidate indépendante de centre gauche, Justine Benin, conseillère municipale du Moule et ancienne proche de la sortante, Gabrielle Louis-Carabin, députée-maire du Moule, qui après avoir été à l’UMP puis soutenu François Hollande, se présente comme suppléante de la candidate marcheuse issue du GUSR, Diana Perran, vice-présidente de la région, arrivée deuxième de ce premier tour. La troisième circonscription voit son électorat de gauche divisé et cette division a pu être un moteur pour Guillaume Guérin, le candidat LR, adjoint au maire de Limoges, tout comme les deux autres candidats LR-UDI du département. On note aussi la déroute locale de la gauche qui ne réussit nulle part à passer le premier tour, empirant le résultat local déjà assez moyen de Jean-Luc Mélenchon en avril (17 %). La surprise est plutôt venue de la circonscription de l'ouest qui réélit la radicale de gauche Jeanine Dubié, qui était menée de plus de 15 points au premier tour par la candidate marcheuse. Neufchâteau-Vittel se choisit un scénario bien différent de celui des trois autres secteurs du département (droite et marcheurs au coude-à-coude, FN troisième et gauche balayée). La Charente est le théâtre, lors de ces élections, de la bataille des gauches entre les fidèles du PS et les nouveaux militants de la REM, au centre, et de la FI, plus à gauche. La droite réussit malgré tout à conserver un siège en faisant basculer le secteur de Falaise-Lisieux grâce au maire de Livarot-Pays-d'Auge, Sébastien Leclerc. La vague "en marche" déferle sur les Bouches-du-Rhône et fait élire huit députés marcheurs et un MoDem. La vague en marche atteint le département et explique en partie la chute du PS. Le grand perdant est ainsi le PS qui perd tous ses députés et est relégué à un score départemental de 3,5 %. Les électeurs réunionnais lui préfèrent le clivage "traditionnel" gauche-droite qui permet aux Républicains de se remettre de la lourde défaite de 2012 qui avait éjecté la droite de la délégation parlementaire départementale, dans un contexte d'abstention forte concernant près de deux tiers des électeurs au premier tour. Pour prendre la succession de Marion Maréchal-Le Pen à Sorgues-Carpentras, Brune Poirson, militante marcheuse franco-américaine, arrive en tête juste devant l'ancien suppléant de la sortante, Hervé de Lépinau. Celle-ci l'emporte avec près de deux tiers des voix face au candidat LR, conseiller municipal et départemental de Saint-Denis-3, Jean-Jacques Morel. Enfin, à Goussainville-Gonesse, Anthony Arciero se qualifie avec à peine plus de 15 % des voix, face à un électorat de gauche fourni mais largement divisé entre cinq candidats et au FN dont il devance le candidat de seulement 123 voix. Il frôle les 47 % des voix et affronte la seule candidate de droite à accéder au second tour en Martinique, Sylvia Saithsoothane, représentante des Républicains. La vague d'en marche déferle en Ille-et-Vilaine et le mouvement présidentiel avec ses alliés remporte ainsi six sièges sur huit. Toutefois, le PS parvient à se raccrocher au seul siège de Savigny-le-Temple, tenu par le président de son groupe parlementaire à l’Assemblée, Olivier Faure, qui rattrape son retard au premier tour pour l’emporter largement face à une marcheuse. Ils éliminent notamment l’acteur Franck de Lapersonne, soutenu par le FN, et la sortante, l’ancienne secrétaire d’état socialiste, Pascale Boistard. Enfin, à gauche, des cinq sortants socialistes, hormis François André, seule Marie-Anne Chapdelaine se représentait à Rennes-Bruz et elle est éliminée au premier tour, devancée de peu par le candidat de la droite et talonnée par celui de la FI, les insoumis qui réussissent sinon à se maintenir à Redon-Guichen et à Rennes-Saint-Jean-de-la-Lande où ils sont à chaque fois largement battus. Quatre de leurs anciens collègues du même parti n’ont pas cette chance et sont tous balayés dont notamment Dominique Nachury dans le nord-est de Lyon, secteur de l’ancien ministre Dominique Perben et Philippe Cochet, député de Caluire-et-Cuire depuis 2002, tous deux battus avec moins de 40 % des voix.
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