ma soeur bass tab
- Publié le 28 décembre 2020
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Cependant, les finances publiques se sont fortement dégradées et le gouvernement ne semble pas engagé sur la voie d’une consolidation budgétaire. L’orientation prospective de la Réserve fédérale selon laquelle la politique accommodante actuelle serait maintenue aussi longtemps que les données le justifieraient, ajoutée à la quête de rendement des investisseurs, donne à penser qu’au niveau de l’indice, les spreads devraient rester assez stables. L’activité est restée soutenue par la politique de grands travaux, tandis que l’inflation s’est réduite bien au-delà des objectifs de la banque centrale. Le redressement de la croissance économique se poursuit. Les perspectives de croissance des pays émergents pour 2020 se sont assombries. Seule la consommation des ménages a permis à la croissance de repartir mais elle risque de s’essouffler avec l’accélération de l’inflation. Tels sont les 15 premiers pays africains dans l’Africa Index 2017. Néanmoins, des forces de soutien existent : la poursuite de l’assouplissement des politiques monétaires, la tempérance des marchés face à l’envolée des déficits budgétaires et l’allègement de la dette des pays les plus vulnérables par les créanciers officiels. Il y a près d’un an, la pandémie déclenchait un choc financier dans la planète émergente. Le rebond de l’activité depuis mars a été rapide et s’est étendu progressivement de l’industrie aux services. Le Brésil fait partie, comme l'Inde et la Chine, de ces pays émergents capables de faire basculer dans les prochaines décennies les rapports de force de l'économie mondiale. Trois équipes d'économistes (économies OCDE, économies émergentes et risque pays, économie bancaire) forment la Direction des Etudes Economiques de BNP Paribas. À court-moyen terme, les fondamentaux macroéconomiques devraient rester très solides : le déficit et la dette publics resteront modérés, l’inflation maîtrisée et la vulnérabilité externe très faible. Le rebond de l’activité au 3e trimestre s’est avéré solide. Rapport. L’arrêt brutal de l’activité touristique, la chute des exportations à destination de l’Europe et l’écroulement de la demande domestique au T2 vont se traduire par une contraction du PIB de l’ordre de 6%. Surtout, la persistance de la pandémie et le prolongement du confinement, voire du reconfinement dans plusieurs pays, font craindre une rechute. Mais faut-il aller jusqu’à effacer la dette ? Le ratio de dette du gouvernement devrait continuer de se dégrader et l’agence de notation Fitch a abaissé la note du souverain en décembre dernier. Il y a plusieurs dizaines de pays émergents, situés principalement en Asie, en Amérique du sud et en Afrique. Le redémarrage attendu de la production des industries extractives, le redressement des prix du pétrole et l’amélioration des indices de confiance dans le secteur manufacturier permettent d’espérer une assise plus large de la reprise en 2021. Cependant, les finances publiques se sont fortement dégradées et le gouvernement ne semble pas engagé sur la voie d’une consolidation budgétaire. La politique de relance des autorités, ainsi qu’une industrie dont la compétitivité a été peu touchée par la pandémie, ont soutenu l’activité, tandis que l’excédent extérieur s’est fortement accru. Premiers signes de resserrement des conditions de crédit. Mais les soutiens monétaire et budgétaire resteront limités. Des évolutions propres aux divers pays pourraient, bien sûr, provoquer des mouvements de spreads plus importants. Mais elle reflète également la nécessité, voire la contrainte, pour les banques et autres intermédiaires financiers domestiques, de mobiliser l’épargne nationale pour couvrir les besoins publics de financement. Par ailleurs, le cycle de resserrement de la Réserve fédérale, à partir de 2015 et qui s’était accéléré en 2017, avait, d’abord, été suivi d’une contraction des spreads, et ce n’est qu’en 2018 que ceux-ci ont nettement évolué à la hausse. La Malaisie a été l’un des pays d’Asie émergente les plus touchés par la crise de la Covid-19. Le Pérou figure parmi les pays d’Amérique latine les plus touchés par l’épidémie de Covid. Les réserves de change sont restées stables mais la vulnérabilité extérieure s’accroît. En cause : le ralentissement des marchés à l’exportation et le climat d’incertitude entretenu par l’affrontement commercial entre les Etats-Unis et la Chine. Le désendettement public, interrompu cette année, devrait reprendre ses droits rapidement dans le cadre d’une stratégie inchangée : maintenir une fiscalité modérée afin de continuer à attirer des investissements étrangers dans l’industrie. Une multiplicité de chocs pèse sur la croissance. L’économie est de nouveau menacée par la recrudescence de l’épidémie de Covid-19 et le gouvernement ne dispose pas des mêmes marges de manœuvre qu’en 2020. L’épisode du taper tantrum en mai 2013 – à la suite de l’annonce par le président de la Fed, Ben Bernanke, d’une réduction possible du rythme des achats d’actifs – avait entraîné une nette hausse des rendements américains et un bond des spreads émergents. Pourtant le déficit est contenu et la banque centrale agit comme prêteur en dernier ressort. Ces deux éléments, qui viennent jouer à la baisse sur la devise et à la hausse sur l’inflation, indiquent une croissance dont la qualité s’est détériorée et impliquent une hausse des ratios d’endettement. Les filets de sécurité pour le traitement préventif des défauts se mettent en place, mais pour les pays les plus vulnérables, la solution passera probablement par un moratoire ou un allègement de dette. Alors que le pays est en récession pour la cinquième année consécutive, avec 4 % prévu en 2020 selon les dernières estimations, la crise actuelle agit comme un catalyseur des vulnérabilités préexistantes et assombrit les perspectives économiques du pays. Depuis, les conditions monétaires et financières se sont largement normalisées. Dans ce contexte, la faiblesse relative du zloty provient davantage d’une stratégie visant à soutenir la croissance que de fondamentaux dégradés. Souvent issus de ce qu’Alfred Sauvy appelait en 1952 le « tiers-monde », c’est-à-dire appartenant au bloc qui, à l’issue de la seconde guerre mondiale n’appartenait ni au bloc de l’OTAN ni au bloc du Pacte de Varsovie, ils ont par la suite souvent été qualifiés de « pays les moins avancés » ou « PMA ». L'Asie marque de son empreinte cette liste de 10 pays émergents sur la scène internationale dans le domaine technologique avec la présence de 4 pays : l'Inde, la Chine, l'Indonésie et la Malaisie. Certes, les rendements des marchés émergents ont évolué à la hausse, mais il n’y a pas eu d’élargissement des spreads, ce qui aurait renchéri davantage les conditions de financement. Par ailleurs, les taux d’intérêt monétaires et obligataires se sont réduits grâce à la détente générale des taux directeurs et une utilisation plus large de l’assouplissement quantitatif par les banques centrales nationales, mais aussi grâce au soutien financier extérieur (lignes de financement des institutions financières internationales, accords de swap de change avec les banques centrales) et au retour des investissements de portefeuille. Le Vietnam, le Mexique ou l'Éthiopie sont des exemples de pays qui peuvent être qualifiés d'émergents. La liste des pays émergents proposée chaque année par les économistes d'Atradius évolue D'ici 2050, six des sept plus grandes économies au monde pourraient être des pays émergents. Afrique du Sud AP Images. L’économie égyptienne a assez bien résisté aux conséquences de la crise sanitaire. Toutefois, l’instabilité financière persiste, avec l’érosion des réserves de change, la forte déconnexion entre le taux de change officiel et le taux parallèle et les anticipations d’une ré-accélération de l’inflation. À moyen terme, le risque principal est la concomitance d’une perte probable de croissance potentielle liée à la pandémie et d’un endettement record du secteur privé. Cet indice se compose des obligations et emprunts en USD émis par des emprunteurs souverains et quasi-souverains d’un grand nombre d’économies en développement, et distingue les émetteurs de qualité (investment grade ou IG) et des spéculatifs (speculative grade ou SG). Les perspectives de reprise sont très incertaines. Toutefois, l’endettement du secteur privé, qui a fortement progressé sur la décennie écoulée, peut constituer une contrainte à l’assouplissement monétaire s’il accroît les risques de crédit. La récente hausse significative des taux longs US n’a pas encore entraîné un élargissement de l’écart de rendement (spread) entre les emprunts d’État américains et l’indice global des marchés obligataires émergents. À court terme, les espoirs de reprise sont limités tant le système économique qui relie étroitement les finances publiques, les banques commerciales et la banque centrale paraît à bout de souffle. La vague de récession/ralentissement n’en est qu’à son début et ses effets s’étendront probablement au-delà de 2020 car le choc réel (arrêt des activités à cause du confinement) se triple d’un choc financier et d’un choc sur les prix des matières premières. Alors que la politique budgétaire devrait continuer de soutenir la demande à court terme, les autorités monétaires réajustent leurs priorités. La crise sanitaire a durement frappé une économie déjà aux prises avec la récession depuis plus de deux ans. La reprise est en cours même si le reconfinement instauré devrait la ralentir. Bien que l’activité ait rebondi depuis le mois de juin, elle reste fragile et bien en deçà des niveaux qui prévalaient avant la crise de la Covid. La faiblesse des coûts d’emprunt des États s’explique en grande partie par l’assouplissement généralisé des politiques monétaires conventionnelles (baisse des taux d’intérêt directeurs) et les programmes d’achats d’obligations publiques d’un grand nombre de banques centrales de pays émergents. Le rebond technique de l’activité, amorcé à la fin du deuxième trimestre, et l’accord de restructuration de la dette publique permettent d’envisager une sortie de récession au second semestre. Toutefois, le repli de la consommation au mois de novembre souligne la vulnérabilité de la croissance à la pandémie. La croissance chinoise a atteint 2,3% en 2020. D’abord principalement tiré par le redémarrage de la production industrielle et de l’investissement, il s’est étendu au cours de l’été notamment grâce au rebond des exportations. Pour toutes les entreprises : Quelle que soit leur taille, toutes les entreprises wallonnes peuvent bénéficier de cette intervention. L’orientation prospective de la Réserve fédérale selon laquelle la politique accommodante actuelle serait maintenue aussi longtemps que les données le justifieraient, ajoutée à la quête de rendement des investisseurs, donne à penser qu’au niveau de l’indice, les spreads devraient rester assez stables.
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