programme cycle 2 pdf

Elle mourut le 9 f�vrier 1919 et fut inhum�e le 12 f�vrier � 8 h. �. Les hebdomadaires L'Annonce et La Semaine de juillet � octobre 1899. On ne peut que regretter le concours f�cheux de circonstances ayant emp�ch� nombre d'habitu�s des soir�es de notre vieille chorale de r�pondre � son appel. marie-emile. Dans la m�me liste de noms et de mots wallons mentionn�e plus haut Apollinaire l'avait relev� sous le titre �Au rendez-vous des brasseurs�. Quant � M1les M. et I. D., elle se sont montr�es tr�s en progr�s, elles ont acquis beaucoup de naturel en sc�ne. Comme avant son mariage, elle prend alors du service chez des particuliers jusqu'en 1937, date � laquelle elle devient g�rante d'un caf� � l'All�e Verte pendant trois ans. L�acrostiche e�t-il annonc� son mariage qui fut c�l�br� le 29 ao�t 1900 ? Sup�rieure fut la saynette Divorce et Dynamite par Mme Fouyat et A.A.. Tous deux ont jou� en artistes et ont recueilli de chaleureux applaudissements. Comme nous le disions plus haut, le concert a dur� jusque minuit et jusqu'� la fin le monde s'est amus�. - Il vient de se constituer a Stavelot, sous le titre �La Foug�re�, un Cercle ayant pour but la culture de l'art dramatique. (Communiqu�) (15 octobre 1899) Maurice Piron s'�tait d�j� �tonn� que la cr�ation de �La Foug�re� n'ait �t� annonc�e qu'� cette date alors que la Soci�t� existait d�j� depuis plusieurs semaines. Ces pr�noms se retrouvent chez une demoiselle Marie, Ad�la�de, Marguerite... Bonnelance n�e � Coo le 28 juin 1881, qui avait donc 18 ans en 1899. La famille �tait constitu�e de la veuve Job, de son fils Emile, le boulanger, et de ses deux s�urs, Alice et Henriette, 18 et 26 ans. Les sources consult�es sont les suivantes : 1. Ils ont du reste pris la revanche dans Voyage en Chine, de Bazin, o� ils ont chant� avec d�lice le fameux cidre de Normandie. Tous les acteurs incarnaient parfaitement leur r�le. La Bourgeoise est en bonne voie et fera excellente besogne. Il est vrai que l'interpr�tation de La Sensitive ou du Chapeau de [12] paille d'Italie ne peut normalement se concevoir sans quelques dames, fussent-elles bonnes ou modistes. Louise (17 ans) et Elodie (19 ans) Daron n'ont fait que passer � Stavelot. Un dernier acrostiche double a �t� �voqu� par Maurice Pilon dans Savoir et beaut�, n� 1-2-3, de 1964. A.L. Mais il n'est pas exceptionnel qu'une d�claration officielle vienne confirmer plut�t qu'annoncer la formation d'une association. Micha p�re et fr�res, tous excellents artistes, nous a donn� quelques morceaux du meilleur go�t, fort appr�ci�s et fort applaudis. - L'ouverture des soir�es que nos soci�t�s organisent chaque hiver a �t� faite selon l'habitude et d'excellente fa�on, comme toujours, par La Bourgeoise. cit�. Elle est hospitalis�e une premi�re fois du 30 ao�t au 20 d�cembre 1916, puis le 23 d�cembre 1918. B*CJ aJ ph hU� B*CJ aJ ph h�vO hU� B*CJ H*aJ ph hs Un mot d'abord pour f�liciter la soci�t�, principalement la vaillante section dramatique, de la fa�on active dont le programme fut conduit. [13] Parlons d�abord de la partie musicale. (� propos du mot �cutn�e� �galement not� par Apollinaire, on compl�tera la note de Michel D�caudin dans �Autour de Stavelot... �, �repas de pommes de terre cuites sur la braise� par ceci : �ce plat r�gional c�l�brant la r�colte des pommes de terre (septembre-octobre-novembre) est toujours rest� jusqu'� ce jour dans les coutumes�). a paru aussi dans l'interm�de Je me fais vieux, une chansonnette de genre que l'on a fort appr�ci�e. Cahier de Stavelot, f� 49 verso, p. 11-2 dans Que vlo-ve ? Nous les f�licitons bien sinc�rement et nous adressons nos plus vifs �loges a Mlle I. Dubois, qui a donn� au personnage de C�line une note tr�s juste. - Les trois sections chorale, symphonique et dramatique de l'a�n�e de nos Soci�t�s se sont �galement bien comport�es dimanche dernier et, s'il n'y avait pas foule pour les applaudir, au moins le public d�j� nombreux qui occupait la salle du Casino fut-il unanime et sinc�re dans les applaudissements que d�cha�na le programme du premier au dernier num�ro. Des articles publi�s entre 1899 et 1903 nous donnons ci-dessous ceux qui nous semblent le mieux refl�ter la vie de l'Association et qui �voquent la participation des s�urs Dubois. Il figure sur une page du cahier de Stavelot dont Jacqueline Apollinaire a fait don au mus�e. Qui sont-ils ? Il serait difficile, pour des amateurs, d'arriver � plus beau r�sultat. Le 3 avril 1880 il a �pous� Sophie Grojean (1852-1919), dont il aura quatre enfants : Antoine (27 novembre 1873 - 6 juin 1905), c�libataire, exer�a le dur m�tier de scieur de long ; Maria (3 janvier 1881 - 9 f�vrier 1919), notre Mareye ; Irma (13 ao�t 1882 - 8 septembre 1942), �pouse un joaillier bruxellois, Joseph Meesters ; mais son bonheur conjugal est de courte dur�e, car son �poux d�c�de en 1911. Venez lire les acrostiches sur Élodie avec Acrostiche.org ! � L'année du RAT devient l'année du SRAS ! Le caf� des Brasseurs fermera ses portes avant la guerre de 1914-1918 tandis que le Cercle ouvrier deviendra ult�rieurement le Versailles. Sa berceuse a fait perler plus d'une larme aux yeux qui, une minute plus t�t, s'illuminaient de ga�t�. �tait-elle plantureuse la partie dramatique et a-t-elle donc plu ! Emile Dubois n'est autre que le plus jeune fr�re de L�on Dubois (p�re de Maria Dubois) ; 3. - LES ACROSTICHES antoine. - LA FOUGERE En 1899, la plus ancienne et la bien nomm�e soci�t� de divertissement La Bourgeoise compte trois sections : une chorale, une symphonique et une dramatique. Pendant une d�cennie, nous avons peut-�tre �t� loin de �ces braves Stavelotains s'emb�tant soir et matin� dont un certain Wilhelm de K. s'est gauss� lors de ses vacances stavelotaines. Le sympathique directeur, M. Octave Micha, avait compos� un brillant orchestre qui ex�cuta quelques jolis morceaux fort applaudis. de janvier-mars 1996. Il est nouveau, il vient de sortir : le coronavirus de Chine ! Les �poux Constant-Lekeu domicili�s rue Neuve � Stavelot - o� s�journait Guillaume - avaient une fille pr�nomm�e Marguerite (23 ans en 1899). Fran�ois, Joseph Dubois. Concert de La Bourgeoise. cité. Entre-temps, Aily aura eu un gar�on et une fille pr�nomm�e Marie-Eve (�va). Nous ne saurions trop les f�liciter tous, car la troupe est homog�ne, sans oublier le grimeur, M. Henri Emotte, qui avait ample mati�re � exercer son art. marie-emile. [14] Le 18 novembre, on c�l�bre en grande pompe la Sainte-C�cile avec ce programme : [15] Le journaliste qui signe cette fois X, �voque cette soir�e du 2 d�cembre dans un article qui donne le climat des r�jouissances stavelotaines de l'�poque, tout en soulignant une fois de plus les qualit�s des s�urs Dubois. Il ne faut pas chercher bien loin ; Antoine est le frère de Maria Dubois. Les jeux de lumi�re ont parfaitement march�, l'aspect de la sc�ne (hormis les d�cors) �tait superbe. hU� B*CJ aJ ph R S V \ ] ^ e g m � � � � ^" b" c" h" ������͒̀q��eVB &hs Quant � Marie Leroy, elle d�c�dait le 7 mai 1931. louise - �LODIE. L'orchestre manquait de pr�paration dans les quatre morceaux qu'il a ex�cut�s. L�on Dubois est donc le troisi�me enfant du couple. Elle a �t� quelque temps en service dans une famille, puis on la retrouve chez ses parents, rue Basse. Les registres d'Etat civil de la Commune de Stavelot pour les ann�es 1865-1910 (naissances et mariages) ; 2. Parmi la dramatique il est une vingtaine de jeunes gens qui d�cident de cr�er un cercle litt�raire qu'ils baptisent �La Foug�re�. Les acteurs m�ritent les plus vifs �loges : il serait difficile, si pas impossible, de faire mieux. L�interpr�tation du premier ch�ur, L�invitation, de Jouvet, a quelque peu laiss� � d�sirer. Le local, absolument priv�, se trouve chez Constant-Lekeu, rue Neuve, o� deux r�unions se tiennent par semaine : le mercredi et le dimanche. La derni�re pi�ce surtout, Disparu /d'Edmond Duesberg, a soulev� un fou rire continuel. :�B*CJ aJ ph h�vO hU� B*CJ aJ ph hs Elles ont �t� enlev�es avec brio. Il concerne Alice et Henriette. On eut encore le plaisir de l'entendre dans une m�lodie suave et originale : Nuit d'�t�, paroles de M. Fernand Blondeaux, musique de M. Octave Micha, chant�e avec accompagnement d'instruments � cordes. L'interpr�tation de Monsieur Boucle, tout particuli�rement, m�rite des �loges. Sur l'acte de mariage les �poux signent Marie et Emile ; 2. Nous les f�licitons cordialement. S � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � $� d� `� a$gd�vO $ ��d� `��a$ gd�vO $ ����d� ^��`��a$ gd�vO $ ��d� `��a$ gda2 $� d� `� a$gd�n� dX ?Y �� � � � � � � � � � � � � � � � � � � � ���ɸɦ��ɉz�k�_��P?z *hs Bravo � tous ! C'est tout au plus si le public avait le temps de se remettre du fou rire qui le secouait pendant les sc�nes d�sopilantes du Chapeau de paille d'Italie. hU� B*CJ \�aJ ph #h�vO hU� 5�B*CJ \�aJ ph ^ � 6! Les amateurs qui d�sireraient faire partie de ce Cercle sont pri�s d'envoyer une demande �crite au local � l'adresse de M. le Secr�taire. Louise se maria � Stavelot le 11 avril 1901 et s'en alla � la m�me date au Guatemala. Leur jeune s�ur, Mlle Jeanne Dubois, qui d�butait, faisait une H�l�ne tr�s r�ussie. Parfaitement ex�cut�s aussi les morceaux mis au pupitre par la symphonie : un vrai r�gal de musique. 3. Le chroniqueur anonyme ne d�taille pas le programme, ��tant trop directement int�ress� � son �laboration�. La f�te a donc r�ussi sur toute la ligne. ^" c" �" �" %# �# �# �# �$ ]% �% 5&. Les r�les f�minins �taient incarn�s � la perfection par Mlles M., I. et J. D. Nous les f�licitons du naturel et de l'�l�gance avec lesquels elles ont jou�. Par exemple ; Fernand Blondeau, futur professeur, retrace l'histoire du th��tre. Quelques petits changements au programme : dans la premi�re partie, au lieu de l'interm�de, nous avons r�entendu Le Grand-P�re qu'a pr�c�d� une r�verie de M. Humblet, pour violons et piano, tandis que dans la seconde moiti� nous �tions priv� d'Iwan Fouyat, emp�ch� d'accompagner sa m�re. $a$gd�vO C R S T ] � � � � � � � � � � � � � R ����ᰜ�ufu�U�I:��ufu� h�vO hs Si la pi�ce �tait amusante, la partie musicale ne laissait rien � d�sirer. Disons de suite que le nouvel �clairage s'est impos� du coup, malgr� l'inach�vement de l'installation, par sa force et sa fixit�. Nouveau signe d'attention le 11 f�vrier 1900. C'est chose regrettable, les bals de La Bourgeoise constituant jusqu'aujourd'hui une des rares occasions de r�union pour la jeunesse de notre ville. Honneur en soit � notre vieille chorale. L'orchestre, conduit par M. Octave Micha et puissamment renforc� de MM. Nos compliments a Mlle M. Dubois, une gentille Mariette, et ses vaillants partenaires. Maria Dubois (qui, si l'on compte bien, n'avait � Stavelot en 1899 pas moins de vingt-huit cousins et cousines) quitte Stavelot le 30 mars 1905 pour Ixelles, 35 rue du Ch�telain, d'apr�s le registre des sorties de la commune, mais elle n'a jamais �t� inscrite � cette adresse. Beaucoup d'�l�ments plaident pour la c�l�bration � posteriori de ce mariage : 1. h� B*CJ aJ ph h�vO 6�B*CJ ]�aJ ph #h�vO h� 6�B*CJ ]�aJ ph *h�vO h�vO B*CJ aJ ph *h�vO h� B*CJ aJ ph h�vO h� B*CJ aJ ph h�vO h�n� B*CJ aJ ph h�vO h�n� 5�B*CJ aJ ph h�vO h� 5�B*CJ aJ ph #*h�vO h� 5�B*CJ aJ ph + , Acrostiche illisible, cahier de Stavelot, f� 41 verso, p. 15 dans Que vlo-ve ? C'est dans l'interm�de principalement que nous avons revu en Mme Fouyat l'artiste personnelle. Acrostiche rest� � l'�tat de projet, qui devait c�l�brer un mariage. Et cela sans un accroc ! [9] 2- LA FAMILLE DUBOIS Jean. Cependant, �La Foug�re� a tout de m�me une particularit� : elle ne compte que trois dames et vous aurez peut-�tre d�j� devin� de qui il s'agit ; de Maria, Irma et Jeanne Dubois. On a donc clos avec entrain la saison des f�tes hivernales. Les bravos soulign�rent comme il le m�ritait ce num�ro d�licat du programme. Concert du 26 novembre. Un acrostiche est une poésie qui a un 'mot caché' et pour pouvoir le découvrir, il faut lire le texte d'une manière différente. Il ne faut pas chercher bien loin ; Antoine est le fr�re de Maria Dubois. hU� B*CJ aJ ph h�vO hU� :�B*CJ aJ ph h�vO hs Mais aussi que de difficult�s cette belle page ne pr�sente-t-elle pas�? hU� B*CJ \�aJ ph #h�vO hU� 5�B*CJ \�aJ ph &h�vO 5�B*CJ OJ QJ ^J aJ ph &hU� 5�B*CJ OJ QJ ^J aJ ph ,h�vO h�vO 5�B*CJ OJ QJ ^J aJ ph ,h�vO hU� 5�B*CJ OJ QJ ^J aJ ph h�vO B*CJ aJ ph h�vO hU� B*CJ aJ ph hs C'est normal puisque Elodie est n�e � Rochefort. Aily se marie le 2 avril 1904 et elle d�c�de � 38 ans le 22 septembre 1919. Le Grand-P�re a retrouv� son succ�s d'�motion : les sc�nes touchantes de ce beau drame ont �t� fid�lement rendues. n� en 1823, mort en 1895, �pouse le 26 ao�t 1823 Marie-Th�r�se Isard, n�e en 1825, morte en 1892. Elodie Elora Ely Eléna Eléonore Emelie Emeline Emelyne Emilie Emma Emmanuel Emmanuelle Enzo Eric Erika Ersin Erwan Esma Esme Esteban Estella Estelle Estelle je t'aime Esther Ethan Etienne Et pourtant elle tourne Eudes Eugénie Eva Eve Evelyne Evy Ève Élisa Élisabeth Ils ont quatre enfants en cinq ans : Serge, R�gine (qui, veuve Ansiaux, vit toujours � Bruxelles), Jacques et Claire (veuve L�senfants, elle r�side toujours � Stavelot). Les deux s�urs sont encore � l'honneur le 22 avril dans cette relation du spectacle de P�ques : Le concert de P�ques a �t� un succ�s d'interpr�tation pour les sections symphonique et dramatique de La Bourgeoise. B*CJ aJ ph hU� B*CJ aJ ph h�vO hU� B*CJ aJ ph hs Mais c'est dans la pi�ce, L'H�tel Godelot, vaudeville en 3 actes aux situations d�sopilantes, que la gaiet� a atteint son paroxysme. Avec leur m�re, elles vinrent s'installer place du March�. Les demoiselles Dubois cessent leur activit� th��trale en 1903, tandis que �La Foug�re� ne donne plus signe de vie apr�s 1909. Lequel L�on Dubois est t�moin au mariage, ce qui confirme des liens familiaux �troits. Elle a connu des personnes cit�es par Guillaume Apollinaire ; son papa �tait cousin germain de Maria Dubois et sa grand-m�re en �tait la marraine. B*CJ aJ ph hs �! " Il n'y aura plus d'Aily dans la famille... le charme est rompu. J'avais d�j� cherch� parmi les pr�noms depuis 1864 et pas la moindre trace d'�lodie. h�vO B*CJ aJ ph h�vO h�vO B*CJ aJ ph hj:6 B*CJ aJ ph h�vO hj:6 B*CJ aJ ph h�vO h�vO B*CJ aJ ph h� B*CJ aJ ph h�vO h� B*CJ \�aJ ph #h�vO h� 5�B*CJ \�aJ ph h�vO h� :�B*CJ aJ ph h�vO h� B*CJ aJ ph h�vO hBj B*CJ aJ ph h�vO B*CJ aJ ph hBj B*CJ aJ ph � � � � � 6 � � f � � ' k � � x � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � $ ��`��a$ gda2 $ ����d� ^��`��a$ gda2 $ ����d� ^��`��a$ gd�vO $ ��d� `��a$ gda2 $� d� `� a$gd�vO � � � � � � � � � � ] ` � � � � � � � � � X Y \ = > C �����������������������p_��S� hBj B*CJ aJ ph hs Il mourra en 1932. [...] [17] Les demoiselles Dubois et le caf� des Brasseurs sur la place du Vin�ve [18] Que Vlo-Ve�? Ceux-ci ont cependant �t� go�t�s de l'auditoire. Acrostiche resté à l'état de projet, qui devait célébrer un mariage. 6�B*CJ ]�aJ ph #h�vO hU� 6�B*CJ ]�aJ ph hs cit�. Cahier de Stavelot, f° 41 verso, p. 15 dans Que vlo-ve ? Cahier de Stavelot, f� 43 recto, p. 13 dans Que vlo-ve�? Comme on le voit, succ�s sur toute la ligne, � part le bal, par exemple, qui n'est pas rest� dans le ton de la soir�e. L'activit� de ces jeunes filles a �t� d�s lors d�crite par Guillaume Apollinaire. antoine. B*CJ aJ ph � � d � = > S T � � o � a + ] ^ � � � � � � � � � � � � � � � � � � � $ �x ��d� ^�x `��a$ gda2 $� d� `� a$gds Il va de soi que le bal devait �tre anim� apr�s une pr�paration si joyeuse. Les registres de la Population de la Commune de Stavelot pour les ann�es 1890-1900 et 1910 ; 3. 1 Mareie Aili Dadite dupont, mentionn�e au verso de la page de garde du cahier de Stavelot dans une �num�ration de noms et de mots wallons. Art dramatique. Marie et Emile s'install�rent plus tard � l'All�e Verte o� ils ouvrirent un caf� jusqu'en 1937, date du d�c�s d'Emile ; c'est Irma Dubois, la s�ur de Maria, qui reprendra l'�tablissement pendant 3 ans. Elodie se maria � Stavelot le 28 septembre 1899 et d�m�nagea � La Louvi�re. cit�. La liste nominative ayant d�j� �t� cit�e dans Stavelot au temps d'Apollinaire, bornons-nous � relever quelques particularit�s : - pour plus des � ce sont des jeunes gens entre 20 et 30 ans ; - s'ils ne sont pas des �tudiants qui deviendront professeurs, m�decins, �diteurs, marchands tanneurs, ils sont titulaires de professions lib�rales voire artistiques ; - ils sont soutenus financi�rement par quelques bonnes fortunes stavelotaines. Les s�urs Dubois, avec, pour la premi�re fois, la cadette Jeanne, se partagent tous les r�les f�minins. Serie 4 No 9 janvier-mars 2000 pages Divers Sommaire / Conditions d�adhesion / Ventes et catalogues 1997 / Apollinaire au jour le jour / Comptes rendus / Informations � DRESAT PAGE 1 # ' ) * + , 1 2 6 � � 0 6 ( , 6 R S  � ��˼������yjy�Y�Y�y�y�M�A h� B*CJ aJ ph h�vO B*CJ aJ ph *hs Plusieurs num�ros ont soulev� des rires hom�riques et des temp�tes de bravos. $ ��d� `��a$ gda2 $ � d� `� a$ gds Tous les personnages �taient croqu�s sur le vif et longtemps encore on se souviendra des tribulations que peut causer un chapeau de paille. Le registre des mariages pour l'ann�e 1898 nous r�v�le que Marie Hubertine Leroy a �pous� Jean Hubert Emile Dubois, le 11 f�vrier. $ $ h$ �$ 0 �$ $ q( f" N q( $ q( x $ \ $ r r r �$ �$ �# X r r r �$ r r r r � � � � 0 � � � 0 � � � x x x x x x ���� ACROSTICHES ET AUTRES par Gilbert DETHIER Que vlo-ve dans son num�ro 21, troisi�me s�rie, de janvier-mars 1996 nous a propos� sous la plume de Michel D�caudin une �tude intitul�e �Autour de Stavelot, deux cahiers et un agenda�. C'est assez dire que la production des divers num�ros �tait bonne�! Nous avons eu du vrai th��tre, et ce sur une sc�ne grande comme la main et en des d�cors pr�historiques. Il avait �t� ouvert par un [10] brasseur et quatre marchands de bi�re pour s'opposer au cercle ouvrier-catholique cr�� par les patrons tanneurs, qui se fournissaient � Malmedy, c'est-�-dire en Prusse. 6�B*CJ ]�aJ ph #h�vO hU� 6�B*CJ ]�aJ ph )h�vO hU� 5�6�B*CJ \�]�aJ ph &hs Leurs buts : cultiver l'art dramatique et organiser deux fois par mois des conf�rences ou des d�bats litt�raires. Le public, bien qu'accapar� jusque minuit, a manifest� sans cesse le plus vif int�r�t. ��ࡱ� > �� : ���� 1 2 3 4 5 6 7 8 9 ������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������������ q` �� @Y bjbjqPqP 7� : : dP � �� �� �� � x x x x x x x � 0 0 0 8 h � � \ � �$ � \ \ r r r r r r h$ j$ j$ j$ j$ j$ j$ $ �% h ( j �$ x r r r r r �$ x x r r �$ $ $ $ r � x r x r h$ $ r h$ $ $ x x $ r P �~f� 3� 0 B! X Le 7 avril 1901 est donn� Un chapeau de paille d'Italie avec des interm�des musicaux. Jeanne (12 d�cembre 1886 - 20 septembre 1915), �pouse Georges Wetz en 1910. MARGUERITE . La Bourgeoise donnait deux ch�urs nouveaux, tr�s bien �tudi�s et tr�s go�t�s, le second surtout, qui fit appr�cier la voix nette et agr�able du soliste, M. Oscar Fonsny. Les �poux quitt�rent Stavelot le 16 novembre 1921 pour s'installer � Li�ge : je n'ai pas cru utile de poursuivre les recherches. No�l, Fran�ois, Joseph, n� en 1859 ; Magdeleine, n�e en 1866, �pouse Prudent Georgin (deux enfants, 1891, 1897); Antoinette, n�e en 1868, �pouse Alfred Tombeux (quatre enfants de 1889 a 1898); Emile, n� en 1872, �pouse Marie Leroy (quatre enfants de 1893 � 1905). Plus ingrate, la saynette Un cr�ne sous une temp�te pour Mme Fouyat et A.L. Certains passages de ce document, et notamment les citations extraites du cahier de Stavelot, ont attir� mon attention et � l'invitation du pr�sident de ce Colloque 1999, j'ai le plaisir de vous pr�senter quelques identifications stavelotaines concernant entre autres des acrostiches d'Apollinaire. Acrostiche illisible, cahier de Stavelot, f° 41 verso, p. 15 dans Que vlo-ve ? N'oublions pas le grimeur, M. Henri Ernotte, pour ses t�tes si r�ussies ! Le pr�nom Aily ne se rencontre chez aucune autre personne � Stavelot en 1900 ; c'est un pr�nom qui fait partie du �patrimoine� d'une seule famille - toujours par les femmes �videmment et ce depuis plus de 150 ans en 1899 - le document le plus ancien date de 1750. Jeanne meurt en 1915 de la m�me maladie qui atteindra Maria, la tuberculose incurable � l'�poque, qui �tait le fl�au de certaines familles. = La premi�re soir�e fut un succ�s, si l'on en croit ce compte rendu publi� le 3 d�cembre (o� Irma et Maria sont discr�tement mais �logieusement nomm�es). Le bal, bien que commenc� trop tard, a pr�sent� une franche animation. APPENDICE La Semaine, hebdomadaire stavelotain, a tenu r�guli�rement ses lecteurs au courant des activit�s de La Foug�re. Cahier de Stavelot, f� 41 verso, p. 15 dans Que vlo-ve ? Il y avait belle chambr�e dans la salle du Casino, resplendissante de clart�. Mlles Maria et Irma Dubois ont rempli leurs r�les - elles en [16] avaient deux chacune - en vraies artistes. 4. Nous la f�licitons de nouveau avec plaisir. [11] Nous avons tous remarqu� qu'�lodie et Louise se retrouvent sous une autre forme, dans les po�mes in�dits (Po, 843). Le rideau �tait a peine tomb� pour la derni�re fois que d�j� les couples tournoyaient, nombreux et sous l'impression joyeuse des m�saventures du brave Nonancourt et de sa noce vagabonde. Nos braves Bourgeois sont donc plut�t excusables et ne pouvaient gu�re atteindre un autre r�sultat. Elle exerce alors le m�tier de repasseuse. Bravo �galement au grimeur pour le talent qu'il a d�ploy� dans la confection de ses t�tes caract�ristiques. On lira dans La Semaine du 14 : Notre vieille chorale La Bourgeoise peut �tre fi�re du succ�s qu'elle a obtenu dimanche : il y avait foule a son concert, foule a son bal, et tous deux ont clos avec le maximum de gaiet� et d'entrain la s�rie des soir�es hivernales. Il ajoute seulement : Nous nous contenterons de f�liciter Mlles Marie et Irma Dubois, qui toutes deux ont gagn� beaucoup de sc�ne et donnent tr�s gentiment la r�plique � leurs partenaires. Sous l'�nergique direction de M. Octave Micha, les deux ch�urs ont �t� enlev�s avec beaucoup de nettet�. ALICE - henriette. hU� 6�B*CJ \�]�aJ ph #h�vO hU� 5�B*CJ \�aJ ph h�vO hU� :�B*CJ aJ ph hs Ils ont huit enfants : Marie, n�e en 1848, �pouse Joseph Gruselin, dont elle aura sept enfants de 1867 � 1890; Julienne, n�e en 1851, qui �pousera Hubert Blaise (dix enfants de 1871 � 1893); L�on, n� en 1854, dont il sera questions plus loin ; Henriette, n�e en 1857, �pouse Jean-Joseph Servais (cinq enfants de 1879 � 1892). Il faut reconna�tre que les acteurs de La Bourgeoise poss�dent une belle dose de volont� pour avoir men� � bonne fin l'entreprise hardie de jouer le c�l�bre vaudeville en cinq actes de Labiche, Un chapeau de paille d'Italie, sur la sc�ne exigu� du Casino. En face de la pension Constant, la boulangerie Job �tait visible de la chambre des fr�res Kostrowitzky. Henriette est rest�e c�libataire et est d�c�d�e � l'H�pital Saint-Nicolas � Stavelot en 1931 � l'�ge de 58 ans, tandis qu'Alice a �pous� en 1903 un n�gociant en bois nomm� Mar�chal. L�on Dubois et sa femme tiennent le Caf� des Brasseurs, place du Vin�ve. Chose d'autant plus regrettable que la faute n'en est pas � l'int�ress�e elle-m�me, mais plut�t � la tenanci�re de l'�tablissement que nous ne f�licitons pas pour son r�le dans le concert : la lumi�re et le feu, r�le de premi�re importance et bien mal compris ! L'interm�de �tait bien compos�. de janvier-mars 1996. abondait n�anmoins d'esprit et a r�colt� sa part de bravos. Et voici, le 6 avril 1902, la derni�re mention des trois s�urs, dans une soir�e donn�e le 30 mars dans la salle du Casino : [...] La partie dramatique se composait de trois pi�ces r�ellement bien choisies : Brouill�s depuis Wagram, Chez une petite dame et Mon Ism�nie�! Tous les acteurs incarnaient leur r�le � merveille et tous br�laient les planches. Cependant bon nombre de pr�cisions qui vont suivre ont pu �tre r�alis�es gr�ce � l'�troite collaboration de Madame Yvonne Gruselin, �pouse Pierre Joseph. La section dramatique s'est r�v�l�e fort en progr�s, ses deux charmantes partenaires surtout, Mlles Maria et Irma Dubois, et son inimitable concierge, pardon, membre M. Henri Dumoulin. Avec plus de nuances et un accompagnement moins lourd ce sera tout � fait bien. 5�B*CJ OJ QJ ^J aJ ph h�vO hj:6 B*CJ aJ ph hs

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